iMPORTANCE DE L'iNFLUX NERVEUX

L'influx nerveux est defini comme une circulation d'information par voie électrochimique le long d'un axone. La cellule nerveuse et ses ramifications sont cruciales dans le fonctionnement de l'organisme et par voie de conséquence, elles ont un rôle sur la santé. Une fois que l'on a compris ce principe tout le reste s'éclaircit. Si le système nerveux est sollicité des stimulis sont transmis. On dit que c'est de l'information, certes mais c'est surtout une miro-décharge électrique. On ne parle pas de l'amplitude du choc électrique ni de la nature de l'information transmise.

La médecine occidentale est très axée sur la chimie et le système de santé aussi. La médecine orientale parle plus d'énergie. L'analyse et la compréhension de l'influx nerveux sont peut-être les moyens pour mettre tout le monde d'accord. 

Une mauvaise santé mentale, notamment la dépression va déteindre sur tout, à commencer par le travail. Si on reprend le cas des cancers, dès que le diagnostic est posé il est interprété comme une condamnation à mort potentielle et le cerveau va boucler sur cette information négative en permanence : une décharge électrique constante capable de générer une prolifération cellulaire anarchique. Plus exactement c'est un mécanisme génétique, anormal qui va détourner le fonctionnement cellulaire au profit de la maladie. A ce sujet les travaux et publications de Patrizia PATERLiNi décrivent exactement le phénomène.

Cette hypothèse a le mérite d'éclairer celui ou celle qui cherche la porte de sortie de nombreuses maladies qui minent le moral. Mais elle permettrait surtout d'expliquer l'évolution : hasard des mutations mais surtout nécessité commandée par le cerveau. A force de stimuli, les gènes mutent. Le canard sans pattes palmées n'avance pas. Mais constatant cette nécessité flagrante le cerveau réclame à grands cris cette adaptation et les pattes deviennent palmées.

Ce résumé est schématique mais il donne suffisamment de pistes pour celui qui est malade. Prenons un simple rhume. Au départ c'est un éternuement puis deux, puis trois. Le nez qui coule, un état général qui s'affaiblit, le moral est à zéro, le sommeil est perturbé et pas d'appétit. Et pourtant il faudrait manger pour fortifier l'organisme dans sa lutte. On privilégie à ce stade une alimentation liquide et chaude. Et à un moment donné un déclic se produit, l'appétit revient et l'organisme  reprend le dessus. Admettre que le cerveau pilote tout cela et réussir à mieux s'en servir pour guérir voilà une innovation qui pourrait améliorer les choses.