Tu fumes tu auras un cancer, tu bois, tu bois trop de café, d'alcool, tu ne ménages pas ta santé, tu bosses dans le nucléaire dans la chimie, tu manipules des produits nocifs, de l'amiante, tu devrais manger bio... Que de cas de nocivité. Echapper à tout cela paraît impossible.
Le cancer vu côté patient et la lutte qu'il mène pour ne pas le développer est intéressant à étudier.
La route de la vie est balisée par les dangers et les risques et cela est fait pour faire peur aux vivants mortels.
Tout le monde connaît les risques, mais pas tous et tout le monde craint vraiment le cancer, les cancers. Et la vie est vite "pliée" dans bien des cas, il est trop tard pour boire du lait quand le cancer est déclaré. Peu d'adultes en effet boivent du lait de préférence entier comme aliment-boisson en prévention aux cancers.
Il ne faut jamais arrêter de boire du lait sous prétexte que l'on devient adulte. Il faut donc beaucoup de vaches sur la Planète pour entretenir chaque recoin, brouter l'herbe et manger du fourrage séché ou fermenté. Tout est lié, tout se tient cela s'appelle l'équilibre. Etre en bonne santé c'est être en équilibre avec le milieu ambiant qu'il soit naturel ou social.
Tout ceci est un résumé en diagonale d'un sujet qui mène le Monde et arrache les cheveux des scientifiques. Les cancers sont ardus, difficiles à prévenir, à détecter et comme le contrôle technique automobile, le dépistage n'empêche pas les accidents. Le pilote dans l'avion c'est vous, c'est vous qui menez votre organisme ou le malmenez.
Ce qui n'est pas bon c'est le choc, le stress, les à-coups, les coups durs. Les dettes, le chômage, les décès, l'insatisfaction, les dépendances et addictions, comme la drogue, les déceptions sentimentales, la solitude et l'ennui, le désœuvrement et la fatigue, le surmenage, le manque de sommeil, le bruit et la pollution. La liste est longue.
Quel rapport avec la prolifération cellulaire qui se produit dans une tumeur cancéreuse ? Tous ces maux, toutes ces nuisances et les pics de stress qui en découlent, stress ressenti ou non, l'organisme les reçoit ni plus ni moins comme des décharges électriques. C'est comme pour la douleur c'est le clignotant qui dit changez de direction, faites quelque chose, ça va mal finir. Arrêtez tout. Faîtes une pause. On sait comment cela commence on ne sait pas comment ça finit.
Le scientifique, le médecin, le pharmacien, les soignants des hôpitaux vous expliqueront cela, mais souvent trop tard. Vous serez déjà en chimio ou aux rayons comme on dit. Même au dépistage, c'est déjà tard car dès que l'on vous annonce un cancer, la machine à broyer du noir se met en route. Le pire est le mauvais sommeil qui en découle.
Que faire ? Slalomer entre les risques toute sa vie sans relâche, boire du bon lait, digérer les chocs le plus vite possible, faire les deuils en se disant que les absents veillent sur nous ce qui est carrément innovant, essayer de vivre et manger bio, cuisiner plutôt que réchauffer ou manger froid, vivre pleinement sa vie avec modération, rechercher le bonheur et le bien-être, tout ce qui ne se vend pas, bien travailler, aller au travail de bonne humeur, se passionner au travail, sublimer ses peurs, communiquer, respirer du bon air au moins une fois par semaine, voir du vert, la campagne, la mer, la montagne, s'occuper de plantes ou de jardin, d'animaux et des autres...
Ce n'est pas tout, à suivre...
Mais si vous essayez de faire tout cela le cancer ne croisera jamais votre route. Au pire vous le vaincrez. Il n'est pas dit ici de ne pas s'appuyer sur la Médecine, il est juste dit que c'est vous le pilote de votre santé personnelle.
La Rédaction